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L'interprète grec
21 août 2012

Explication du message 'IOU' - 53-8-92 - Un code avec les Contes des Grimm

Auteur : Eva Christine
Date : 21 juillet 2012
Source : Pretty Things and Monsters

 Note : Les lettres 'IOU', en anglais, sont prononcés comme 'I owe you', ce qui veut dire, 'Je te revaudrai quelque chose'. La phrase 'I owe you' peut signaler la gratitude ou la vengeance.

Cet article est écrit d'un style très difficile à rendre en une langue autre que l'anglais. J'ai fait de mon mieux pour adapter la syntaxe mais je vous prie de me pardonner s'il y a des phrases peu naturelles.

 

Nous savons que Moriarty laisse 'Les Contes des Grimm' comme indice pour que Sherlock trouve les enfants kidnappés. Et s'il laisse ce livre comme indice à l'énigme 'IOU' aussi ? 

Il est évident que Sherlock ne croit pas une seconde au code binaire - le 'code' qu'il tape à Bart's diffère complètement de la séquence 'Partita #1' que tape Moriarty.

Pourtant, cette scène dans le laboratoire à Bart's représente le moment où Sherlock se rend compte de quelque chose d'important. Ce qu'il a résolu, ce n'est pas comment « détruire Richard Brook et faire revenir Moriarty », mais plutôt comment jouer le rôle de « Sherlock l'ordinaire » pour son ennemi. Il envoie aussitôt un SMS à Moriarty et fait semblant de croire à l'existence du code, gagnant le dessus dans leur jeu.

À ce point, Moriarty est tellement sûr de sa supériorité intellectuelle, qu'il laisse Sherlock choisir l'heure et le lieu de leur rendez-vous. Tant que Moriarty pense que Sherlock soit un imbécile ordinaire qui ait cru à la farce de « la clé qui ouvre toutes les portes », il ne soupçonne pas de piège. Et voilà comment Sherlock se sert du toit de St. Bart's - ce n'est pas seulement un endroit utile où simuler sa mort, mais aussi un piège pour Moriarty. Parce qu'il est intolérable que Moriarty survive. 

Sherlock ne peut pas simuler son suicide si Moriarty se tient à ses côtés sur le toit. Il se peut que Moriarty remarque le camion qui porte les déchets au dépotoir. Il se peut qu'il voie un matelas, ou des sacs à linge, ou une poubelle, ou un filet de protection, ou un canard géant en caoutchouc - quoi qui affaiblisse l'impact quand Sherlock tombe. Moriarty n'est pas stupide ; il le comprendra. Il se peut même qu'il exige de voir le corps de Sherlock dans la morgue, pour s'assurer de sa mort. Il est hors question de tuer Moriarty, car Sherlock sait qu'il est probable que les acolytes de Moriarty observent leur rencontre sur le toit, pour se venger s'ils en ont besoin. Je crois que c'est assez évident que Sherlock comprend non seulement que Moriarty veut qu'il meure, mais aussi que Moriarty se suicidera, sur le toit même, si c'est la seule chose qui puisse causer la mort de Sherlock. 

Comment est-ce qu'il le résout ? Il est facile de deviner que Moriarty veut que Sherlock meure, sa réputation détruite ; en effet, il promet de faire de son coeur un tas de cendres, puis de le tuer « quand même, un jour ». Moriarty se donne aussi beaucoup de mal pour discréditer Sherlock à travers les médias ; il est donc raisonnable de conclure qu'il ne va pas faire assassiner le détective - on écoute les morts. Le suicide, pourtant, discréditera tout ce que Sherlock a jamais dit, détruisant son héritage entier. Je ne doute pas que Sherlock peut déduire tout ça. Mais comment Sherlock a-t-il la certitude que Moriarty se suicidera ? Ce n'est forcément pas un coup de chance ; il a trop à perdre. Sherlock fond son plan du « faux suicide » sur la supposition que Moriarty ne soit pas là, sur le toit, pour le prendre au mot.

Il y a quelque chose qui manque. Quand Sherlock dit qu'il peut « tuer Rich Brook et faire revenir Jim Moriarty » en utilisant le code binaire, Moriarty se vexe énormément parce que « c'est trop facile, c'est trop facile » ! L'air triste et déçu, il dénonce Sherlock d' « ordinaire ». Pourquoi est-ce que Moriarty emploie des mots comme « trop facile » et « ordinaire » ? Tout ce qu'il a fait, c'était d'embaucher des gens pour entrer dans ces lieux-là par effraction - il n'y a rien d'extraordinaire, ni de très difficile. En fait, c'est beaucoup plus barbant qu'une clé qui ouvre toutes les portes. Alors pourquoi est-ce qu'on dit que Sherlock est ordinaire ?

Il y a quelque chose de très intéressant et d'extraordinaire dans La chute du Reichenbach - l'énigme 'IOU'. On ne l'explique jamais, donc on nous laisse croire qu'il n'y a pas de sens, à part le barbant, ordinaire 'I owe you' [Je te revaudrai quelque chose]. Mais savons-nous vraiment que ça n'a pas de sens ? C'est la chose la plus fascinante dans l'épisode entier, si non dans la série entière. C'est partout. 

Moriarty donne à Sherlock cet énigme 'IOU' - il le grave sur une pomme, le peint sur toutes les surfaces disponibles, et va jusqu'à lui dire que c'est un énigme, qu'il doit apprendre à aimer les énigmes - mais Sherlock, étant barbant et ordinaire, ne le résout jamais.

Du moins, c'est ce que pense Moriarty. 

Sherlock murmure 'IOU' en analysant la molécule du glycérol dans le laboratoire à Bart's (juste avant qu'on nous montre la structure chimique du glycérol). Quand on lui demande pourquoi, il dit que « ce n'est rien, une note mentale ». Murmurer des nullités sans importance, au hasard, ça ne ressemble pas à Sherlock, donc je préfère croire que Sherlock a découvert quelque chose à ce moment. Et si IOU fait référence à des éléments chimiques - l'iode, l'oxygène et l'uranium ?

 

Et si, comme dans Le banquier aveugle (également écrit par Steve Thompson), chaque symbole représente un chiffre ? Les nombres atomiques de l'iode, de l'oxygène et de l'uranium sont 53, 8 et 92. 

D'abord, je croyais que c'était peut-être un code secret. Mais c'est une série à la télé, pas le CIA, donc il est plus probable que 53-8-92 soit quelque chose de très simple. Dans Le banquier aveugle, la clé du code se trouvait dans un livre - London A-Z. Dans cet épisode, il y a aussi un livre - Les contes des Grimm. Moriarty le laisse au lieu du crime, sachant bien que Sherlock le trouvera. 

De ce que je vois dans les images, le livre de Moriarty fut imprimé en « Grande Bretagne par […]pire Press, Norwich ». J'ai cherché dans la base de données de ma bibliothèque scolaire, et j'ai trouvé « Jarrold & Sons, Ltd., The Empire Press, Norwich ». Je n'ai pu trouver ce livre nulle part, donc je parie que c'est assez rare. Heureusement, on nous montre l'intérieur du livre de Moriarty, donc j'ai pu comparer les pages, les numéros des contes, les dessins, et le placement du texte dans plusieurs éditions. Il est arrivé que l'édition 1944/1972, de Pantheon Books, soit la même édition que celle de Moriarty.

Chaque conte, dans cette édition, a son propre numéro. (Veuillez ignorer les contes marqués. Les marques n'ont pas de sens, elles veulent simplement dire que certaines personnes n'ont pas de respect pour les livres de la bibliothèque.) 

Et si IOU fait référence aux contes des Grimm avec les numéros 53 (le nombre atomique de l'iode), 8 (oxygène) et 92 (uranium) ?

Souvenez-vous : Moriarty est du genre de criminel qui laisse des indices.

John : Quel genre de kidnappeur laisse des indices ?

Sherlock : Celui qui aime se vanter, qui pense que tout est un jeu. Il s'est assis dans notre appartement, il m'a prononcé ces paroles exactes : « Tous les contes de fées nécessitent un bon vieux méchant. »

Le 53ème conte des Grimm, c'est Blanche-Neige.

La Reine essaie trois fois de tuer Blanche-Neige, comme Moriarty essaie trois fois de tuer Sherlock (les deux premiers étant la pilule empoisonnée et la veste avec le Semtex à la piscine). La dernière fois, les deux méchants apportent une pomme à leur victime. La Reine ordonne au chasseur de lui apporter le coeur de Blanche-Neige. Moriarty promet également de réduire le coeur de Sherlock en un tas de cendres. Pour assurer que Sherlock voie le clip de la caméra de surveillance, il écrit 'Get Sherlock' [Trouvez Sherlock] à l'envers, puis prend une pose devant la caméra, vêtu des joyaux de la couronne et de la cape de la reine. Après son acquittement, il vient chez Sherlock, déclare qu'il est un « bon vieux méchant », boit d'une tasse avec un motif de couronne, grave 'IOU' sur une pomme, et dit à Sherlock qu'il doit apprendre à aimer les énigmes. Sherlock prend la pomme et examine les trois lettres avec curiosité. Peut-être que cette scène n'est pas l'heure de l'artisanat des pommes. Peut-être qu'en fait, Moriarty laisse un indice pour Sherlock (tout comme, plus tard, il envoie des miettes de painà 221B). Si on réfléchit, ça a du sens - d'une façon, leur problème final, c'est « qui dans cette terre est le plus beau ».

 

Quand il essaie de forcer Sherlock à sauter du toit, Moriarty dit, « J'adore les journaux. Des contes de fées. Et des contes assez sinistres, en plus. ['Sinistre' en anglais signifie ici 'grim', prononcé comme 'Grimm', donc un jeu de mots.] Mais je me doute qu'il ne s'attend pas à ce que Sherlock fasse comme Blanche-Neige. Je me demande donc si le coup à la Blanche-Neige - où il meurt, mais revient après s'être débarrassée de la mauvaise pomme (c'est-à-dire, Moriarty et son réseau) - est une coïncidence, ou si Sherlock s'amuse autant que Moriarty en jouant ce jeu des Contes des Grimm. 

Le 8ème des contes des Grimm, c'est L'étrange musicien (également traduit comme L'étrange violoniste et Le violoniste merveilleux dans d'autres éditions). Ce conte s'agit d'un violoniste qui cherche un compagnon. La musique du violoniste attire trois bêtes sauvages. Il se montre plus futé qu'elles, et elles essaient de le tuer pour se venger. L'une de ces bêtes, c'est un renard. Moriarty porte une épingle à cravate en forme de renard quand il vient à 221B donner à Sherlock l'énigme IOU. C'est Sherlock le violoniste, bien sûr. 

Le 92ème conte, c'est Le roi de la montagne dorée. C'est l'histoire d'un garçon qui devient roi en réussissant à une série d'épreuves et en tuant les autres candidats (il y a également une reine méchante, un démon qui résout les problèmes mais qui exige quelque chose en retour, et un marchand qui, sans le savoir, vend à ce démon son fils unique). Moriarty met la couronne et s'assit sur le trône à la Tour de Londres. Quand ils se retrouvent à 221B, il prend une tasse avec une couronne, et se vante auprès de Sherlock du fait que « celui qui règne, c'est celui qui a la clé ».

Alors, Moriarty donne à Sherlock un recueil de contes, lui dit quels contes il doit lire - IOU - et lui fournit un tas d'indices par rapport à ces contes. Et comment est-ce que Sherlock doit s'en servir ? Le cube Sudoku dans la vidéo de Moriarty est assez intéressant, mais s'il était important, il aurait été là, dans l'un des épisodes. Nous cherchons probablement quelque chose qui apparait dans La chute du Reichenbach, quelque chose de si évident qu'il nous crève les yeux depuis le début.

Moriarty laisse Les contes des Grimm au lieu de l'enlèvement. Qu'est-ce qu'il y laisse d'autre ? Un message, écrit en encre invisible. Et une bouteille d'huile de lin, au cas où ils ne remarquent pas le message invisible.

Bon, Moriarty est obsédé par les contes de fées. Il envoie Les contes de Grimm au lieu du crime à venir, et une enveloppe pleine de miettes de pain à 221B, comme indices, pour qu'on trouve le frère et la soeur, en train de manger des bonbons dans une usine de chocolat. Et pourtant, sommes-nous censés croire que ce n'est pas Moriarty qui a mis le chemin marqué par l'huile (qui représente si manifestement une traînée de miettes de pain) ? Allons. Y a-t-il des chances que le garçon enlevé suive l'intrigue de Hansel et Gretel, par hasard ? Très peu.

Je crois qu'il est également important de noter que Sherlock prend Les contes du Grimm du lieu du crime, et le garde auprès de lui - on le voit le regarder dans le laboratoire à Bart's, après que John se souvient des miettes de pain. Est-il possible qu'il y ait un message dans le livre ? Sherlock feuillète le livre dans la chambre de la fille enlevée, mais il ne voit rien sur les pages. Pourtant, il le tient. Et si le message est donc écrit en encre invisible, comme le message sur le mur dans la chambre du garçon enlevé ? (Pas avec l'huile de lin - son odeur est trop forte. Mais il y a beaucoup d'encres invisibles non volatiles.)

Les contes de Grimm est un livre épais, mais Moriarty dit à Sherlock quels contes il doit lire - IOU. On devra traiter les pages de ces trois contes avec quelque chose (l'iode, la chaleur, la lumière ultraviolette, etc.) pour faire apparaitre le message. Le message peut être n'importe quoi - des phrases soulignés, des mots ou lettres surlignés, mais je préfère l'idée que Moriarty utilise un élément des contes eux-mêmes (parce qu'il faut l'avouer : c'est plus sexy).

Alors, voici ma lubie : Sherlock connait les projets de Moriarty parce qu'il a résolu l'énigme IOU, mais Moriarty ne le sait pas. Sherlock est habitué à risquer sa vie pour prouver son génie, mais maintenant que la vie de ses amis a été mise en jeu - maintenant qu'il a enfin des amis - il risque sa vie pour jouer le rôle de « Sherlock l'ordinaire » afin de les sauver.

Nous ne pouvons pas savoir ce que dit le message de Moriarty, car Sherlock est le seul à posséder le livre marqué. Mais faisons un peu de spéculation. La proposition qui effleure l'esprit en premier, c'est que Moriarty révèle qu'il est prêt à sacrifier sa vie si c'est le seul moyen d'assurer la mort de Sherlock. Voilà pourquoi Sherlock s'est décidé à simuler sa mort sur le toit de St. Bart's, tout en sachant que Moriarty sera à ses côtés - il compte sur l'idée que Moriarty soit déjà mort quand il saute. J'irais jusqu'à constater que Sherlock pousse Moriarty à se suicider : « Je n'ai pas besoin de mourir, si vous êtes là. »

Voici un exemple très simple d'un possible message de Moriarty :

Pourtant, il pourrait être n'importe quoi dans ces contes. Il se peut qu'il y ait quelque chose dans chacun des contes, et que ces choses, une fois rassemblées dans le bon ordre, se combinent pour produire un message. Moriarty dit que « tous les contes nécessitent un bon vieux méchant », donc il se peut que ce soit quelque chose que dit le méchant dans chacun des trois contes. Le message pourrait même donner des indices sur les « trois balles, trois tireurs, trois victimes », ce qui expliquera comment Sherlock sait qui seront les cibles, et qu'il n'y aura que trois cibles (il ne cite pas Mycroft, Molly et Irene, par exemple). Chacun des contes 'IOU' a quelque sorte de trio - trois gouttes de sang sur la neige et trois oiseaux qui pleurent autour du cercueil de Blanche-Neige dans le conte 'I' ; trois bêtes sauvages qui essaient de tuer l'étrange violoniste dans le conte 'O' ; trois géants et trois nuits de tourment (qui causent la mort de l'héros, qui est pourtant « ressuscité, aussi sain qu'avant ») dans le conte 'U'. Par exemple, les trois oiseaux qui pleurent Blanche-Neige - un hibou, un corbeau et une colombe - pourraient représenter Lestrade, John (observez les graffiti en forme d'ailes noires à l'extérieur de 221B) et Mme. Hudson. Mais il pourrait être n'importe quoi. J'ai créé plusieurs « messages secrets » de ces contes, pour voir si c'est possible, et les options sont presque sans fin. C'est très amusant en plus. Essayez-le.

Sherlock sait qu'il se peut que les acolytes de Moriarty le surveillent, donc il fait semblant d'être choqué quand le criminel consultant tire sur lui-même. Je ne crois pas que ses larmes soient causées par quelque sorte de narcotique ou anesthésique, car il serait très stupide de se droguer avant de faire un saut dont la vie dépend. Je crois que le spectacle de détresse que fait Sherlock n'est rien d'autre que ça : un spectacle. Après tout, « le théâtre a perdu un comédien excellent » quand Sherlock est devenu spécialiste en crime. 

Quand Sherlock étend la main - apparemment vers John - il donne en fait un signe à ses acolytes, et/ou ceux de Mycroft, qu'il va bientôt sauter. 

Le camion, le ballon en caoutchouc, et le cycliste ont déjà été expliqués mille fois par de merveilleux internautes, donc je ne vais pas le répéter. Tout le monde sait, ou presque, comment il a simulé sa mort. Mon seul problème avec la séquence de la chute, c'est qu'il n'y a presque pas de temps pour retirer l'appareil qui a affaibli son impact, sans parler du temps nécessaire pour permettre à un maquilleur de sortir du camion, mettre du sang artificiel sur le visage de Sherlock - de façon très réaliste - et remonter dans le camion sans que personne ne le voie.

Maintenant, regardez comment il agite ses mains.

 

Il a l'air d'avoir une crise et c'est tout, mais nous avons déjà décidé que ce n'est pas le cas. L'appareil photo tourne autour de Sherlock, et nous ne pouvons pas voir clairement ce qu'il fait, mais il fait quelque chose à sa tête. Nous le voyons toucher ses cheveux, puis son nez, puis sa bouche. Il me semble peu probable, mais dans l'absence d'autres explications, je vais supposer qu'il attache avec diligence de petits paquets de sang derrière ses oreilles et à l'intérieur de ses narines (je vous ai dit que c'était une lubie XD). Quand il tombe d'un oreiller géant (ou d'un matelas, ou d'un filet, ou d'un canard en caoutchouc) sur le trottoir, les paquets de sang explosent. Remarquez bien qu'il ne « saigne » que de ses oreilles et de son nez (la tache de sang à côté de sa bouche peut également venir de la cavité nasale). Aucune blessure ni taillade n'est visible, mais c'est encore réaliste et on n'a pas l'impression que quelqu'un a versé un seau de sang sur son visage. La tache de sang à droite sur son front, est là parce qu'il gisait sur son côté dans la mare de sang avant qu'on ne l'a retourné.

Je n'ai également aucun doute que Mycroft aide Sherlock à simuler sa mort. XD Le Sherlock Holmes original appelle Mycroft à l'aide dans Le problème final et La maison vide, donc il est raisonnable de soutenir que ce Sherlock fait de même.

 

Les captures d'écran viennent de ce merveilleux site. L'image détaillée de l'épingle en forme de renard vient de charmmakers, que j'ai trouvé sur wearsherlock.

 

Note de la traductrice : Les contes mentionnés sont Blanche-Neige (Sneewittchen), L'étrange musicien (Der wunderliche Spielmann) et Le roi de la montagne dorée (Der König vom goldenen Berg). Les numéros des contes varient selon l'édition. Je ne réussis pas à trouver une version française de ces deux derniers en ligne. Si vous avez besoin d'une traduction, n'hésitez pas à demander ; je peux les traduire de l'anglais.

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Commentaires
M
Il se trouve aussi qu’il a préparé le coup avec Molly pour ce faire soigner après sa chute pour cacher sa mort : «j’ai besoin de vous »
K
tout ce que j'ai envie de dire c'est bravo, je n'ai pas pensé à tout ca et je vois les choses differement maintenant, grand merci a vous
C
Super interessant, cela prouve que je suis passée à côté de beaucoup de chose !!<br /> <br /> En tout cas, merci beaucoup.
N
Hallucinant. Tout concorde. C'est merveilleux !
A
Je trouve cette théorie totalement... folle, minutieuse, plausible! Je constate qu'il y a des fans plus fous que moi! :D Ça me réconforte!<br /> <br /> C'est un article fascinant! Merci pour la traduction!
L'interprète grec
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